Les maladies mentales, un diagnostics tardif

En France comme ailleurs, les maladies mentales sont de plus en plus répandues. Elles touchent notamment les 1/5 de la population. Les troubles mentaux tels Schizophrénie, troubles bipolaires, dépression, les psychoses et autres sont les problèmes auxquels doit faire face le Ministère de la santé publique. Dans presque tous les départements et communes françaises, existe des cabinets de psychologue professionnel. À Lens dans le 62, il est possible d’avoir une consultation de psychologue à Courcelles pour se confier et trouver des solutions ou des traitements appropriés pour soigner personne atteinte d’un trouble mental.

Des pathologies difficiles à détecter

 

Le diagnostic d’un trouble de la personnalité ou un quelconque autre problème mental intervient beaucoup trop tardivement. Le comportement étant en constante évolution ou régression, il est difficile de déterminer par exemple le premier symptôme d’un trouble bipolaire afin d’entamer un traitement. La détection tardive des maladies mentales comme la schizophrénie, l’autisme, rend la prise en charge difficile. Pourtant si le diagnostic est élaboré tôt, il sera sûrement plus facile de soigner le mal avant qu’il ne s’aggrave. Si un trouble mental est détecté dès les premiers symptômes, le traitement sera immédiatement donné avec de fortes chances d’une guérison complète du patient.

Pour ce faire, il faut-il que les proches puissent reconnaitre les symptômes d’une maladie mentale afin d’informer les médecins. De plus, les parents dont les enfants souffrent de roules psychiatriques, ont honte d’en parler ou sont stigmatiser par la société. Parce que le manque de connaissances et le refus d’admettre la maladie sont un énorme frein à la prise en charge des malades.  D’où la difficulté d’un diagnostic plus précoce.

C’est pourquoi l’accent doit être mis sur une meilleure information du grand public au sujet des signes précurseurs d’un trouble mental. Sur ce point, peu de médecins ont une formation qui leur confère la capacité à s’occuper de ces cas. Raison pour laquelle, l’interaction entre les médecins généralistes et les psychiatres doit être fusionnelle pour une meilleur prise en charge et un excellent suivi de malades mentaux.

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